Aux dernières nouvelles des trottoirs, il semble que les bubons de la fièvre politique tentent à se résorber et les choses à s’avancer comme un âne devant un bâton de carotte agité par un grand manitou. En fait, le phénomène ne traduit que l’existence d’un mouvement rampant vers les fauteuils (bientôt vacants, semble t-il) du conseil de gouvernement. Ce sera l’aspiration pour un ticket d’entrée qui explique l’accalmie de l’heure. Ne serait-ce pour la classe sortante, que le temps d’une recapitalisation express ou d’un approvisionnement plus que fourni en vue d’une éventuelle traversée du désert.